15 septembre 2008
Coque sinon Rien !
J'ai tendance à chiner à la hauteur de mes compétences. Culinaires j'entends.
Cela explique donc certainement mon amour inconditionnel pour ... le coquetier.
Je les entasse, les amasse, aucun ne m'échappe.
Mais avec ma seule bouche à nourrir, autant dire que le tour de roulement
s'allonge au fil du temps.
J'en ai tellement que je n'arrive plus à les empiler. Tellement que leur seul salut serait d'aller se faire cuire un oeuf chez leurs futurs acheteurs !
Pour un peu, je pourrais dire que la prolifération des coquetiers m'a donné l'envie d'être brocanteur.
Mais de la poule ou de l'oeuf on n'a toujours pas trouvé qui venait en premier
...
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